Territoire
Terre d’histoire, de Guillaume le Conquérant au Débarquement du 6 juin 44.
Terre généreuse aux paysages contrastés, proche de Paris et Londres.
Terre d’entrepreneuriat et d’innovation : 244 000 établissements et présence de nombreux pôles de compétitivité.
Cartes
Armature urbaine - 2017
L’important réseau d’agglomérations (Alençon, Cherbourg, Dieppe, Évreux, Lisieux, Louviers…) s’organise autour de trois grands pôles urbains (Caen, Le Havre et Rouen). De petites unités urbaines se forment autour des grands pôles et se répartissent de manière homogène sur tout le territoire. Les nombreuses infrastructures routières et ferroviaires participent au maintien et au développement de ce réseau, particulièrement dynamique le long de la vallée de la Seine et du littoral. Il favorise également la mobilité entre unités urbaines.
Réalisation : SIG Normandie - 01/2017
Sources : UU INSEE 2010 - RP INSEE 2014 - CORINE Land Cover
Fonds : Route 500® - BD TOPO® 2014 - IGN©
Etablissements Publics de Coopération Intercommunale (EPCI) - Au 1er janvier 2017
La Normandie est structurée par un maillage dynamique d’agglomérations, de villes et de bourgs. Au 1er janvier 2015, la totalité des 3 221 communes de la région appartiennent à une intercommunalité. Elles se répartissent au sein d’une métropole (Rouen), deux communautés urbaines (Alençon et Cherbourg), dix communautés d’agglomération (dont Caen et Le Havre) et 151 communautés de communes, soit un total de 164 établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre. Le nombre d’EPCI a diminué de 18% entre 2012 et 2014 à la faveur de la dernière vague de regroupements intercommunaux. Afin de tenir compte des bassins de vie des habitants, le périmètre de plusieurs EPCI s’étend sur les régions limitrophes de la Normandie. C’est le cas de la Communauté urbaine d’Alençon (Pays de la Loire), de la Communauté d’agglomération du Pays de Dreux (Centre-Val de Loire), des communautés de communes de Bresle-Maritime (Nord-Pas de Calais – Picardie), interrégionale de Blangy-sur-Bresle (Nord-Pas de Calais – Picardie), du Massif de Perseigne et du Saosnois (Pays de la Loire), du Pays de Verneuil-sur-Avre (Centre-Val de Loire). Cette carte intercommunale sera amenée à évoluer dans les prochains mois en application de la dernière loi de réforme territoriale (loi NOTRe du 17 août 2015) qui fixe à 15 000 habitants le seuil minimal, hors dérogations, de constitution d’un EPCI.
Sources : RN/DAT/SVTC
Fonds : ADMIN EXPRESS 2017 - IGN©
Réalisation : SIG Normandie - 01/2017
La densité de population par commune en 2011
Les villes les plus peuplées sont Le Havre (175 497 habitants), Rouen (110 933 habitants), Caen (108 954 habitants), Evreux (50 537 habitants) et Cherbourg (39 003 habitants). On compte ainsi trois communes de plus de 100 000 habitants, une de 50 000 à 100 000, 13 de 20 000 à 50 000 et 26 entre 10 000 et 20 000. En termes de densité, les plus grandes villes comme Rouen, Le Havre, Caen, Évreux et Cherbourg comptent entre 1 000 et 5 218 habitants au km².
Avec plus de 464 000 habitants en 2011, l’unité urbaine1 de Rouen est la douzième de France derrière Grenoble et devant Strasbourg.
1. L’INSEE appelle unité urbaine une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) qui compte au moins 2 000 habitants.
Les collectivités engagées en Agenda 21 - 2016
L’Agenda 21 est un projet global et concret, dont l’objectif est de mettre en œuvre progressivement et de manière pérenne le développement durable à l’échelle d’un territoire. Il se traduit par un programme d’actions visant à améliorer la qualité de vie des habitants, à économiser les ressources naturelles, à lutter contre les changements climatiques et à favoriser la transition économique vers de nouveaux modes de production et de consommation.
L’Agenda 21 adopté en Basse-Normandie en 2008 et révisé en 2013 traduit l’engagement de la Région dans tous ses domaines de compétences. Pour assurer la mise en œuvre de ce projet, les Assises régionales du développement durable ou l’Institut régional du développement durable, cofondé avec l’Université de Caen Normandie, sensibilisent, mobilisent et mettent en réseau les acteurs du territoire et ses partenaires. En ce sens, la Région apporte un soutien à la réalisation d’Agendas 21 locaux à travers des financements, de l’appui méthodologique et de l’animation en partenariat avec la DREAL.
Nature et Biodiversité : Gestions contractuelles - 2015
La Normandie dispose d’un patrimoine naturel riche et diversifié faisant l’objet de plusieurs mesures de protection (réglementaire, contractuelle et inventaire).
Elle compte ainsi neuf réserves naturelles nationales et quatre régionales ainsi qu’une forêt de protection, le bois Dardennes, dans le sud de la Manche. De plus, une partie de l’Estuaire de la Seine et la côte de la Seine-Maritime sont classées « Espaces remarquables du littoral », en application de la loi « Littoral ».
Enfin, 42 arrêtés de protection de biotope ont été pris par les préfets afin d’assurer la préservation des habitats et des espaces animales et végétales protégées.
Le territoire normand comporte 92 sites Natura 2000, couvrant près de 800 000 hectares. Le réseau Natura 2000 est un ensemble de sites naturels européens, terrestres et marins, identifiés pour la rareté ou la fragilité de leur faune et flore, et de leurs habitats. Il peut s’agir de zones de protection spéciale (protection des oiseaux), de zones spéciales de conservation (créées par la directive « habitats ») ou de sites d’importance communautaire.
Enfin, une partie du territoire a fait l’objet d’inventaires patrimoniaux, afin de mieux connaitre le patrimoine naturel normand et de constituer une base scientifique à la politique de protection de la nature. Cet inventaire est principalement réalisé au travers du programme ZNIEFF, qui définit deux types de zones : ZNIEFF de type I, qui sont des zones d’intérêt faunistique ou floristique, et ZNIEFF de type II, zones d’intérêt écologique. En Normandie, ce sont 1 536 zones qui ont été identifiées. Un autre inventaire a défini trois zones importantes pour la conservation des oiseaux, qui sont des sites hébergeant des effectifs d’oiseaux sauvages jugés d’importance européenne. Enfin, un inventaire du patrimoine géologique (IPGN) a été réalisé sur la partie bas-normande, concernant 408 sites géologiques, dont 58 sont d’intérêt national à international. Il a été lancé en 2012 pour la partie haut-normande.
Air - Climat - Energie - Territoires couverts par des Plans de Protection de l'Atmosphère (PPA) et communes classées en zone sensible
Les plans de protection de l’atmosphère (PPA) sont élaborés par les préfets dans toutes les agglomérations de plus de 250 000 habitants ainsi que dans les zones où les normes de qualité de l’air sont dépassées ou risquent de l’être. Ils ont pour objectif de ramener la concentration en polluants dans l’atmosphère de la zone qu’ils couvrent à un niveau conforme aux normes de qualité de l’air. En Normandie, l’ensemble du territoire de l’Eure et de la Seine- Maritime est couvert par un unique Plan de protection de l’atmosphère adopté en 2014. Les zones sensibles à la qualité de l’air sont définies au regard, d’une part, des dépassements observés ou potentiels des normes de pollution et, d’autre part, de leur sensibilité propre, plus précisément à la présence de population ou de zones naturelles protégées. En 2012, les zones sensibles à la qualité de l’air concernaient 183 communes normandes représentant 6 % de la superficie régionale et regroupant 40 % de la population.
Sources : Air Normand / Air C.O.M
Fonds : BD TOPO® 2014 - IGN©
Réalisation : SIG Région Normandie - 04/2016
Quartiers Prioritaires de la Politique de la Ville (QPV) - Quartiers du Nouveau Programme National de Renouvellement Urbain (NPNRU)
La loi de programmation pour la ville et la cohésion urbaine du 21 février 2014 a établi une nouvelle géographie prioritaire et un nouveau cadre contractuel pour mettre en œuvre la politique de la ville sur la période 2014-2020 : le contrat de ville.
Le périmètre des quartiers prioritaires de la politique de la ville a été fixé par décret le 30 décembre 2014. Cette nouvelle géographie, basée sur le critère de la pauvreté (c'est-à-dire la concentration des populations ayant des ressources inférieures à 60 % du revenu médian de référence), vient remplacer l’ensemble des différents zonages : Zones Urbaines Sensibles (ZUS), Zones de Redynamisation Urbaine (ZRU), Zones Franches Urbaines (ZFU), Contrats Urbain de Cohésion Sociale (CUCS).
La Normandie compte 62 quartiers prioritaires. La Région Normandie, futur signataire des contrats de ville, intégrera pour chaque territoire d’une part, ses dispositifs spécifiques (« rénovation urbaine ») et, d’autre part, les différents dispositifs des politiques sectorielles (développement économique, emploi, formations, politique éducative, foncier, logement, culture, sport…) et la mobilisation de fonds européen de développement régional (FEDER), fonds européen agricole pour le développement rural (FEADER) et fonds social européen (FSE) via les contrats d’agglomération.
Sources : Commissariat général à l'égalité des territoires (CGET) - Région Normandie
Fonds : BD TOPO 2014® - IGN©
Réalisation : SIG Région Normandie - 03/2016
Paysages et aménagements normands - 2016
La carte des paysages de Normandie est issue d'une combinaison des unités paysagères décrites dans "l’inventaire régional des paysages de Basse-Normandie" publié en 2004 et des grands ensembles paysagers présentés dans "l’atlas des paysages de la Haute-Normandie" publié en 2011.
Ces deux ouvrages traduisent la volonté de l’Etat et de la Région, conscients de la richesse et de la diversité des paysages normands, de permettre aux acteurs de l’aménagement du territoire de disposer de bases de connaissances objectives pour contribuer à une politique ambitieuse dans ce domaine.
Très documentés, ces ouvrages constituent des documents de référence pour la région. En mettant à disposition de tous une connaissance précise des paysages de la région, ces documents sont des outils pour aider l’État, les collectivités locales et les acteurs locaux à mieux comprendre ces paysages et à les prendre en compte dans les politiques d’aménagement du territoire.
Ils traduissent la somme des connaissances des approches historiques, géographiques, sociologiques et culturelles qui permettent de comprendre la complexité et la diversité subtile des paysages régionaux.
Sources : DREAL Normandie
Fonds : BD TOPO® 2014, Route 120 - IGN©
Réalisation : SIG Normandie - 08/2016
Les territoires en transition énergétique - Etat d'avancement au 1er décembre 2016
La Région soutient les territoires qui souhaitent devenir des « Territoires en transition énergétique ». 11 collectivités sont ainsi engagées dans la démarche Cit’ergie, appellation française du label European Energy Award à travers une politique d’énergie durable accompagnée par l’Ademe. Suite à l’appel à manifestation d’intérêt « Territoires en transition énergétique en Basse-Normandie » (TTE) lancé en 2013 par la Région et l’ADEME, 22 territoires se sont engagés dans cette démarche. Dix sont aujourd’hui reconnus en transition énergétique, 12 sont dans une phase d’élaboration de plan d’action et 6 autres ont fait part de leur intérêt. L’appel à projets « Territoires à énergie positive pour la croissance verte » (TEPCV), lancé en 2015 par le ministère de l’Ecologie, du développement durable et de l’énergie a retenu 17 lauréats normands. Deux communautés de communes sont, par ailleurs, lauréates de l’appel à candidature « Territoire à énergie positive dans l’Eure » lancé par le Département en partenariat avec l’Agence locale de l’énergie et du climat (ALEC 27) et accompagnés au niveau national par le CLER (Comité de liaison des énergies renouvelables) dans le cadre du réseau TEPOS.
Sources : Région Normandie, ADEME
Fonds : GEOFLA® 2014 - IGN©
Réalisation : SIG Normandie - 06/2016
Réseaux de communication - 2015
La région Normandie compte six aéroports : Rouen-Vallée de Seine, Le Havre-Octeville, Evreux-Fauville (base militaire), Caen-Carpiquet, Deauville Normandie et Cherbourg-Maupertus. Compte-tenu de la proximité des deux grands aéroports parisiens, Roissy et Orly, auxquels peut s’ajouter celui de Beauvais, le trafic passager reste modeste avec quelques 250 000 passagers transportés en 2014, dont 115 000 pour chacun des deux aéroports principaux que sont Deauville Normandie et Caen-Carpiquet. Ils représentent à eux deux 92 % de la fréquentation aéroportuaire régionale en nombre de passagers.
Fonds : BD TOPO® 2014, Route 120 - IGN©
Réalisation : SIG Normandie - 01/2017
Nature et Biodiversité - Inventaires patrimoniaux
La Normandie dispose d’un patrimoine naturel riche et diversifié faisant l’objet de plusieurs mesures de protection (réglementaire, contractuelle et inventaire). Elle compte ainsi neuf réserves naturelles nationales et quatre régionales ainsi qu’une forêt de protection, le bois Dardennes, dans le sud de la Manche. De plus, une partie de l’Estuaire de la Seine et la côte de la Seine-Maritime sont classées « Espaces remarquables du littoral », en application de la loi « Littoral ». Enfin, 42 arrêtés de protection de biotope ont été pris par les préfets afin d’assurer la préservation des habitats et des espaces animales et végétales protégées. Le territoire normand comporte 92 sites Natura 2000, couvrant près de 800 000 hectares. Le réseau Natura 2000 est un ensemble de sites naturels européens, terrestres et marins, identifiés pour la rareté ou la fragilité de leur faune et flore, et de leurs habitats. Il peut s’agir de zones de protection spéciale (protection des oiseaux), de zones spéciales de conservation (créées par la directive « habitats ») ou de sites d’importance communautaire. Enfin, une partie du territoire a fait l’objet d’inventaires patrimoniaux, afin de mieux connaitre le patrimoine naturel normand et de constituer une base scientifique à la politique de protection de la nature. Cet inventaire est principalement réalisé au travers du programme ZNIEFF, qui définit deux types de zones : ZNIEFF de type I, qui sont des zones d’intérêt faunistique ou floristique, et ZNIEFF de type II, zones d’intérêt écologique. En Normandie, ce sont 1 536 zones qui ont été identifiées. Un autre inventaire a défini trois zones importantes pour la conservation des oiseaux, qui sont des sites hébergeant des effectifs d’oiseaux sauvages jugés d’importance européenne. Enfin, un inventaire du patrimoine géologique (IPGN) a été réalisé sur la partie bas-normande, concernant 408 sites géologiques, dont 58 sont d’intérêt national à international. Il a été lancé en 2012 pour la partie haut-normande.
Sources : DREAL Basse et Haute-Normandie
Fonds : BD TOPO 2014® - IGN©
Réalisation : SIG Normandie - 01/2017
Occupation du sol - 2012
La Normandie est très majoritairement couverte par des terres agricoles, puisque celles-ci représentent près de 72 % des sols. Ces terres sont principalement utilisées pour l’élevage bovin et les grandes cultures céréalières et oléagineuses. Si les grandes et moyennes exploitations valorisent 94 % des terres agricoles normandes, 44 % des exploitations restent malgré tout de petite taille. Le reste du territoire se partage entre les sols naturels et les sols artificialisés, ces derniers empiétant sur les terres agricoles. La forêt couvre 14 % du territoire, une proportion assez faible au regard de la moyenne nationale de 28 %. Les parties est et sud de la Normandie disposent toutefois d’un couvert forestier significatif, notamment autour de la vallée de la Seine. Dans la partie ouest, il se résumerait plutôt au linéaire bocager, peu détectable à cette échelle mais remarquable par son étendue, sa biodiversité et l’exploitation dont il fait l’objet. Les sols artificialisés concernent 10 % du territoire. Cette urbanisation est particulièrement importante autour des principales aires urbaines (Alençon, Caen, Cherbourg, Évreux, Le Havre et Rouen), le long de la vallée de la Seine et du littoral.
Sources : Union européenne - SOeS, CORINE Land Cover,2012
Fonds : ROUTE 500® - BD TOPO® 2014 - IGN©
Réalisation : SIG Normandie - 01/2017
Nature et Biodiversité - Protections réglementaires
La Normandie dispose d’un patrimoine naturel riche et diversifié faisant l’objet de plusieurs mesures de protection (réglementaire, contractuelle et inventaire). Elle compte ainsi neuf réserves naturelles nationales et quatre régionales ainsi qu’une forêt de protection, le bois Dardennes, dans le sud de la Manche. De plus, une partie de l’Estuaire de la Seine et la côte de la Seine-Maritime sont classées « Espaces remarquables du littoral », en application de la loi « Littoral ». Enfin, 42 arrêtés de protection de biotope ont été pris par les préfets afin d’assurer la préservation des habitats et des espaces animales et végétales protégées. Le territoire normand comporte 92 sites Natura 2000, couvrant près de 800 000 hectares. Le réseau Natura 2000 est un ensemble de sites naturels européens, terrestres et marins, identifiés pour la rareté ou la fragilité de leur faune et flore, et de leurs habitats. Il peut s’agir de zones de protection spéciale (protection des oiseaux), de zones spéciales de conservation (créées par la directive « habitats ») ou de sites d’importance communautaire. Enfin, une partie du territoire a fait l’objet d’inventaires patrimoniaux, afin de mieux connaitre le patrimoine naturel normand et de constituer une base scientifique à la politique de protection de la nature. Cet inventaire est principalement réalisé au travers du programme ZNIEFF, qui définit deux types de zones : ZNIEFF de type I, qui sont des zones d’intérêt faunistique ou floristique, et ZNIEFF de type II, zones d’intérêt écologique. En Normandie, ce sont 1 536 zones qui ont été identifiées. Un autre inventaire a défini trois zones importantes pour la conservation des oiseaux, qui sont des sites hébergeant des effectifs d’oiseaux sauvages jugés d’importance européenne. Enfin, un inventaire du patrimoine géologique (IPGN) a été réalisé sur la partie bas-normande, concernant 408 sites géologiques, dont 58 sont d’intérêt national à international. Il a été lancé en 2012 pour la partie haut-normande.
Sources : DREAL Normandie
Fonds : BD TOPO® 2014 - IGN©
Réalisation : SIG Normandie - 02/2017
Parcs Naturels Régionaux (PNR) et Réserves Naturelles Régionales (RNR) - 2016
La région compte quatre Parcs naturels régionaux (PNR). Ils couvrent 17 % du territoire et recèlent des ressources naturelles variées et une biodiversité abondante. Il s’agit d’espaces à dominante rurale dont les milieux naturels et le patrimoine culturel sont d’une grande richesse. Désireux d’expérimenter des modèles d’aménagement et de développement innovants pour leur territoire, les parcs s’attachent à combiner activités humaines et préservation de l’environnement, en donnant une forte dimension pédagogique à leur action locale.Le parc Normandie-Maine présente des paysages verdoyants sillonnés par de nombreuses forêts : il couvre 257 000 hectares et s’étire des collines de Normandie aux Alpes mancelles. Celui du Perche, réputé pour son bocage, s’étend lui sur 194 000 hectares. Le parc des Marais du Cotentin et du Bessin se caractérise par de vastes zones humides s’insérant dans un paysage bocager traditionnel, sur 147 000 hectares. Enfin, le parc des Boucles de la Seine normande, sur 80 000 hectares, compte une grande diversité de milieux naturels avec plusieurs marais et forêts importantes jalonnés d’un riche patrimoine historique.
La région compte également à ce jour cinq Réserves naturelles régionales (RNR). Elles ont été créées par la Région afin de conserver le patrimoine naturel d’espaces remarquables, à la fois grâce à une réglementation des activités et à une gestion adaptée : la RNR des anciennes carrières d’Orival créée en 2008, la RNR géologique de Normandie-Maine créée en 2009, la RNR de la clairière forestière de Bresolettes créée en 2010, la RNR des Marais de la Taute créée en 2011 et la RNR de la Côte de la Fontaine créée en 2015.
Sources : PNR concernés - DEEDD/SERN
Fonds : BD TOPO® 2014 - GEOFLA® 2014 - IGN©
Réalisation : SIG Normandie - 01/2017
Air - Climat - Energie - Emissions de Gaz à Effet de Serre (GES)
La qualité de l’air est contrastée en Normandie. Les territoires les plus urbanisés et industrialisés sont les plus émetteurs de polluants au km² : la vallée de la Seine avec les agglomérations de Rouen et du Havre et la zone de Port-Jérôme, les agglomérations de Caen, Alençon et de Cherbourg. Les niveaux de qualité médiocre à très mauvaise sont principalement enregistrés, en moyenne sur 10 % des jours de l’année, par les agglomérations de Rouen et du Havre, qui ont mis en place des outils de mesure de la qualité l’air.
Sources : Atmo Normandie / Inventaire Année 2012 / Wikipédia
Fonds : BD TOPO® 2014 - IGN©
Réalisation : SIG Normandie - 02/2017
Air - Climat - Energie - Emissions de particules fines (PM10)
La qualité de l’air est contrastée en Normandie. Les territoires les plus urbanisés et industrialisés sont les plus émetteurs de polluants au km² : la vallée de la Seine avec les agglomérations de Rouen et du Havre et la zone de Port-Jérôme, les agglomérations de Caen, Alençon et de Cherbourg. Les niveaux de qualité médiocre à très mauvaise sont principalement enregistrés, en moyenne sur 10 % des jours de l’année, par les agglomérations de Rouen et du Havre, qui ont mis en place des outils de mesure de la qualité l’air.
Sources : Atmo Normandie / Inventaire Année 2012 / Wikipédia
Fonds : BD TOPO® 2014 - IGN©
Réalisation : SIG Normandie - 02/2017
Air - Climat - Energie - Emissions d'oxydes d'azote (NOx)
La qualité de l’air est contrastée en Normandie. Les territoires les plus urbanisés et industrialisés sont les plus émetteurs de polluants au km² : la vallée de la Seine avec les agglomérations de Rouen et du Havre et la zone de Port-Jérôme, les agglomérations de Caen, Alençon et de Cherbourg. Les niveaux de qualité médiocre à très mauvaise sont principalement enregistrés, en moyenne sur 10 % des jours de l’année, par les agglomérations de Rouen et du Havre, qui ont mis en place des outils de mesure de la qualité l’air.
Sources : Atmo Normandie / Inventaire Année 2017 / Wikipédia
Fonds : BD TOPO® 2014 - IGN©
Réalisation : SIG Normandie - 02/2017
Zonage des aires urbaines - 2010
Si la densité moyenne régionale de 111 habitants au km² est assez proche de la moyenne nationale (116 hab/km²), on constate une distribution assez inégale de la population sur le territoire. En effet, on observe une tendance aux déplacements de population vers les communes périurbaines et rurales connectées aux grands pôles urbains. Les abords des grands centres urbains se densifient tandis que les espaces isolés en dehors des zones d’influences de ceux-ci vieillissent et se désertifient, en raison des problématiques de mobilité, d’accès aux services et à l’emploi. Les zones les plus peuplées se trouvent autour de grands pôles (Rouen, Caen, Le Havre, Cherbourg, Évreux) mais aussi le long de la vallée de la Seine et de la Côte Fleurie. La région se distingue également par un semi de pôles urbains de taille moyenne (Argentan, Bernay, Coutances, Falaise, Gournay…) maillant de façon régulière l’espace régional. Les zones les plus isolées se trouvent principalement dans le Cotentin, le Mortainais et le département de l’Orne.
Sources : INSEE
Fonds : GEOFLA® 2014 - IGN©
Réalisation : SIG Normandie - 06/2017
Les pôles métropolitains, pays et pôles d'équilibre territoriaux et ruraux (PETR) - 2015
La couverture régionale en pôles métropolitains, pays et pôles d’équilibre territoriaux et ruraux (PETR) témoigne d’une organisation équilibrée de la Normandie. Le pays est un territoire qui présente une « cohésion géographique, économique, culturelle ou sociale, à l’échelle d’un bassin de vie ou d’emploi » (loi du 4 février 1995 renforcée par la loi du 25 juin 1999) et dont l’objectif est la promotion d’un développement durable du territoire. Si de nouveaux pays ne peuvent être crées, la loi MAPTAM du 27 janvier 2014 permet désormais de constituer des pôles d’équilibre territoriaux et ruraux. La région Normandie compte ainsi 20 Pays et 5 PETR.
La région Normandie se distingue par l’existence de deux pôles métropolitains : le pôle Caen Normandie Métropole créé le 29 janvier dernier et le pôle Rouen-Seine-Eure créé le 29 février 2012. Un troisième, le pôle métropolitain de l’Estuaire de la Seine construit autour de l’agglomération havraise, est également en réflexion. Les pôles métropolitains sont des établissements publics regroupant principalement des EPCI qui ont pour objectif une meilleure coordination dans les actions concernant le développement économique, le transports, l’innovation, la culture, le tourisme… Le pôle métropolitain caennais se différencie en intégrant à la fois des EPCI dits « socles », situés autour de Caen, et des EPCI « réseaux », visant à renforcer la cohésion territoriale à travers le développement d’un réseau de villes moyennes dans l’ouest de la Normandie.
Le Relief et l'Hydrographie - 2015
La Normandie appartient à deux grands ensembles géologiques. A l’ouest d’une ligne allant d’Alençon à Bayeux, se trouve le massif armoricain et son bocage. A l’est, s’étend le bassin parisien et ses grands plateaux calcaires. La Normandie dispose d’une exceptionnelle variété de paysages : des marais (du Cotentin et du Bessin, de la Dives, Vernier), de vastes plateaux cultivés (la plaine de Caen, le Neubourg, le pays de Caux) et des collines bocagères (le bocage normand, le pays d’Auge, le pays d’Ouche, le pays de Bray et le Perche).
D’altitudes pourtant modestes, le Mont des Avaloirs (416 m) et le signal d’Ecouves (413 m), point culminant de Normandie, n’en restent pas moins les deux plus haut sommets du grand ouest de la France (à proximité, seuls les Ardennes, le Morvan ou le Massif central proposent des hauteurs aussi « vertigineuses »).
Le territoire est irrigué par de nombreux cours d’eau. Le bassin hydrographique principal est celui de la Seine et de ses affluents (l’Andelle, l’Epte, l’Eure et la Risle). Dans la partie est de la Normandie, la Seine est secondée par plusieurs fleuves côtiers (la Béthune, la Bresle, l’Orne et la Touques), qui entaillent profondément le plateau sédimentaire aux franges du bassin parisien. A l’ouest, dans sa partie armoricaine, le paysage est marqué par un important «chevelu» de petits fleuves, de rivières et de rus.
Les Schémas de Cohérence Territoriale (SCoT) - 2015
Le SCoT est un document de planification stratégique qui fixe, à l’échelle d’un territoire les grandes orientations d’aménagement et de développement pour les 10-20 années à venir dans une perspective de développement durable. Il est élaboré par un établissement public comprenant un ou plusieurs groupements de communes.
Il sert de cadre de référence pour toutes les politiques territoriales notamment, en matière d’urbanisme, d’habitat, de déplacements, d’équipements, de commerces, d’environnement et plus généralement en termes d’organisation de l’espace.
Il s’articule avec les autres documents de planification. Il joue ainsi un rôle de pivot entre le schéma régional d’aménagement, de développement durable et d’égalité des territoires (SRADDET) élaboré par la Région et les documents élaborés à l’échelle locale tels que le plan local d’urbanisme (PLU).
La Normandie est couverte dans sa quasi-totalité par des territoires en démarche de SCoT. 22 ont déjà été approuvés (dont 6 sont en révision), 13 sont en cours d’élaboration et 2 sont en phase de réflexion. Aujourd’hui, 93 % de la population vit sur un territoire concerné par l’un d’eux. Le périmètre d’application d’un SCoT recouvre toutefois plusieurs réalités dans la région. Il peut être construit à l’échelle d’un pays ou d’un pôle d’équilibre territorial et rural (Pays de Bray ou Pays d’Argentan, Pays d’Auge Ornais et Pays d’Ouche), d’un bassin de vie regroupant plusieurs intercommunalités (Nord Pays d’Auge ou Pré-Bocage) voire s’appuyer sur un unique EPCI (Communauté urbaine d’Alençon ou Plateau du Neubourg).
Vidéos
Le PSLA un projet doublement primé
L’ancienne friche Leroy à Livarot accueille, aujourd’hui, le Pôle de Santé de Livarot. Initié en 2008, il aura fallu 7 ans pour permettre à ce projet de voir le jour.
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La Manche, nos énergies partagées
Laissez-vous porter par la Manche, cette terre d’innovation, d’énergies partagées, d’émotions et d’envies, ouverte sur le monde et sur demain.
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L'Atelier Fleurs et Couture
Dans sa boutique "L'atelier Fleurs et Couture" à Messei (Orne), Gwenaëlle Monsallier, fleuriste, compose des créations florales pour toutes les occasions de la vie : anniversaire, mariage, naissance, fêtes, cérémonies.
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